Après la chute de l'Atlantide

Si les images apparaissent trop petites sur votre ordinateur : clic droit sur l'image, puis "ouvrir dans une nouvelle fenêtre", puis re cliquez sur l'image (dans la nouvelle fenêtre) lorsque vous avez la loupe pour l'agrandir à sa taille réelle.
Vous pouvez lire quelques pages de ce livre ci-dessous 

Voici quelques perles de You are a galactic human :

« Après la chute de l’Atlantide sont apparus l’empire Lybie-Egypte d’un côté et l’empire de Rama en Inde. 

Un grand conflit entre ces deux empires aboutit, il y a 6000 ans, à un terrible déluge qui détruisit la plus grande partie des êtres humains. Des êtres de Pléiades, considérés comme des « renégats » car ils ne voulaient pas suivre les lois de la Fédération Galactique, sont venus aider les humains survivants, en créant la civilisation Sumérienne et la civilisation Egyptienne dans le Moyen-Orient, en Amérique centrale, la civilisation pré-olmèque et, en Asie, une civilisation en Chine. Toutes ces civilisations furent fondées avec un modèle hiérarchique dans lesquels les renégats Pléiadiens se présentaient comme des Dieux et devaient être honorés par les êtres humains. 

Toutes ces civilisations firent tout ce pour empêcher les humains d’avoir accès aux informations concernant la civilisation Lémurienne, qui, avant l’ Atlantide, connaissait encore une conscience spirituelle élevée. Les anges et les archanges tentèrent de donner à des êtres humains de visions et des messages pour dépasser les croyances limitées de ces temps obscurs. Mais ces époques furent marquées par des guerres incessantes et elles menèrent à la civilisation actuelle dont les énergies nucléaires pourraient mener à l’autodestruction. Depuis le grand déluge, les êtres humains ont vu leurs vies se raccourcir de près de mille ans (tel que décrit dans les récits bibliques) à quelques décennies et leurs capacités mentales s’amoindrir. La Hiérarchie Spirituelle a estimé que, peu à peu, l’énergie d’amour et de lumière envoyée vers les humains mutants leur permettrait de retrouver leur unité avec la lumière. Bien que la majorité des êtres humains ait été privée, par des mutations génétiques, de la plus grand partie de sa conscience spirituelle, des voyants, chamanes et sages ont pu maintenir la clarté sur la vraie nature galactique des êtres humains. Ainsi des envoyés de Sirius comme Jésus, Bouddha ou Quetzalcoal sont venus apporter des messages d’amour et d’unité. Ils ont manifesté le fait que si les êtres humains créent l’unité entre leur corps de matière et leur corps de lumière, ils redeviennent conscients de leur rôle dans les civilisations galactiques.
Il faut signaler que les « renégats des Pléiades », qui ont apporté des mutations génétiques involutives, ne sont maintenant plus autorisés à agir car leur indépendance par rapport à leurs groupes de commande a été stoppée.
Le temps est venu de créer maintenant un nouveau lien avec les mondes spiritiuels de de donner naissance à une société pleinement consciente. Bien des prophéties ont annoncé que la Terre passerait par des schémas évolutifs qui mèneraient de l’obscurité à la pleine lumière. C’est ce qui est en train de se passer maintenant et qui permet à la Terre de revenir prendre part à la Fédération Galactique.
Nous, les Siriens, accompagnons les Hiérarchies Spirituelles pour apporter le lumière et l’amour à tous les êtres humains. Les gouvernements ne pourront plus continuer à contrôler les humains en les maintenant dans la peur et l’ignorance et les quelques technologies qu’ils ont reçu de certains extraterrestres comme les Petits Gris ne peuvent rien contre les forces conscientes que nous savons utiliser.
Ne doutez pas du fait que les énergies divines qui ont créé tout ce qui existe dans cet univers ont décidé de permettre à une grande Lumière de venir maintenant pour redonner aux êtres humains la conscience qu’il ont perdue et les moyens de développer tous leurs potentiels.
Les humains sont les gardiens de la Terre et des tous les êtres vivants qui y vivent. Il est temps d’assumer consciemment ce rôle magnifique, en collaboration avec le peuple des cétacés qui, dans les mers, joue ce rôle.
Etre gardien signifie comprendre que tous les êtres vivants, soit les minéraux, les plantes, les animaux et les êtres humains, doivent être respectés et honorés.Votre capacité d’être à la fois un être spirituel et un être matériel vous permet de jouer ce rôle avec conscience et plénitude.
N’oubliez pas que la Lumière de la Grande Source , la Lumière de la conscience Christique, qui est la force du Créateur lui-même, est amour et entoure tous les êtres vivants de sa bonté et de sa compassion. Quand les êtres s’immergent dans la lumière blanche et l’utilisent somme source de créativité, ils agissent dans la conscience et dans la clarté. Du coup, plus aucune des vibrations sombres ne peuvent les atteindre.
Ce livre a été réédité sous le titre "Your first contact" mais il n'a pas encore été traduit en français. pour ceux qui parlent anglais, le site de seldan NIDLE www.paoweb.com/ donne des infos passionnantes sur ce sujet.
Tal Schaller

Planetary Activation Organization

www.paoweb.com

SHELDAN NIDLE UPDATESUpdate for May 14 now posted Welcome to Webinar 39Finding Our Way Through the ChaosSun. May 19, 12-1:30 p.m. PDT Thurs. May 23, 6:00-7:30 p.m. PDT GALACTIC EVENTS SCHEDULE

 Ci-dessous quelques pages de mon livre 

                                                 INTRODUCTION

Amis lecteurs qui me faites l’honneur d’ouvrir ce livre, je voudrais vous dédier ces quelques lignes.

Ce récit est-il un conte totalement sorti de mon imagination ? Est-il au contraire la description d’une autre réalité ? Ou un point de vue sur des possibilités non encore découvertes ?

C’est à vous de vous faire votre propre opinion suivant trois options.

La première, y croire à priori sans avoir besoin de preuves, ou ne pas y croire.

La seconde, être sceptique sans à priori, c'est-à-dire avoir des doutes et observer sur ce qui vous paraît vraisemblable ou invraisemblable.

En définitive prendre plaisir à la lecture, je l’espère, et ne garder que ce qui vous convient.

Merci de me lire. J’accueillerai avec beaucoup d’intérêt vos remarques et observations car nul ne connaît toute la vérité qui est par nature changeante par rapport aux nouvelles découvertes.

                                                                              Jean-Loup

                                     PREAMBULE

Il fait un froid de canard. Il a neigé depuis Noël et la route est assez difficile. Je reviens de Strasbourg où j’ai visité la cathédrale. Elle est superbe sous les flocons. On aurait dit une carte de Noël scintillante de guirlandes blanches incrustées de petits cristaux, comme il y en avait dans mon enfance.

Je décide malgré tout de faire un crochet par Reims.

Cela fait longtemps que je veux vérifier par moi-même si je ressens l’énergie qui circule dans ce lieu.

J’ai garé ma voiture sur la droite dans l’avenue qui monte vers le sanctuaire. Je pénètre dans l’édifice bien emmitouflé.

Je décide de progresser dans l’allée centrale vers le maître-autel. Je marche lentement avec receuillement pour m’imprégner du lieu, mêlant mes pas à des générations de fidèles et de hauts personnages.

Je ressens une présence proche de moi. D’un regard discret j’explore mon voisinage et mon regard croise celui d’une femme. Elle détourne le regard car je pense qu’elle m’observait.

Je sais qu’il y a une ligne de force dans le transept sur la gauche et c’est là que je veux faire l’expérience de ma sensibilité aux ondes invisibles de la terre. Je me dirige donc aussitôt dans cette direction. Je commence à ressentir une légère vibration dans les jambes qui montent lentement. Pour vérifier que je ne rêve pas je me déconcentre et là de nouveau nos regards se croisent. Je m’aperçois qu’elle fait la même démarche que moi.

Je me permets de lui sourire et je luis dit : «  Vous aussi vous ressentez l’énergie du lieu ? » Elle hoche la tête en signe d’approbation.

Chacun continue sa visite de son coté.

Je suis maintenant sur le parvis à l’extérieur. Une pensée me trotte dans la tête. J’ai l’impression de connaître cette femme. Pourtant c’est peu probable car c’est la première fois que je viens à Reims. Je chasse cette idée quand soudain j’entends derrière moi : «  C’est incroyable cette sensation que l’on perçoit dans certains lieux ».

Avant de me retourner, bien que je n’aie pas encore entendu le son de sa voix, je sais que c’est la belle inconnue.

Après un bref échange, je lui propose de lui offrir une boisson chaude pour continuer cette conversation plus confortablement. Elle accepte sans façon.

Nous nous apercevons que nous partageons le même intérêt pour tout ce qui est mystérieux.

Je lui fais part de mon impression de l’avoir déjà vu bien que je ne sois pas de la région. Elle m’indique alors qu’elle se prénomme Hélène mais qu’elle n’est pas d’ici non plus. Elle vit près des calanques de Cassis à coté de Marseille et elle trouve le climat du Nord, car pour elle il ne peut en être autrement, bien difficile à supporter. Elle m’avoue qu’elle aussi m’observait car elle avait la même impression de déjà vu, elle et moi visitant ce lieu.

Nous devons constater que jamais nous ne nous sommes  rencontrés. Je règle les consommations et nous prenons congés car je dois rentrer en Bretagne et la route va être longue par ce temps.

Maintenant je file vers Paris par l’autoroute qui est assez difficile car de longues files de camions se suivent après avoir été parqué plusieurs jours, les routes étant impraticables. J’ai hâte d’arriver avant la nuit chez mes neveux qui m’offrent l’hospitalité.

Tout en conduisant je repense à cette étrange sensation de déjà vu. Pas dans cette existence c’est sûr. Alors dans une autre ? Peut-être.

Enfin j’arrive à destination. Les jeunes enfants me font fêtes avec fortes démonstrations, tout excités dans l’attente de mon arrivée. Après un bon dîner je vais me coucher et je m’endors du sommeil du juste ( je pense ).

Alors je me sens dans une étrange sensation. Je ne sais pas si je rêve ou si je suis dans une drôle de réalité, car tout à l’air fou et pourtant bien réel. …

  

                              PROLOGUE

A la manière de …

Je m’appelle Gurvan Duchemin, j’ai 76 ans et j’ai déjà parcouru un bon bout du chemin prévu durant cette existence.

Mais au fait, qui suis je ?

Vous ne vous êtes jamais posé la question ?

Moi si !

Et je ne me suis pas arrêté à cette seule interrogation.

Depuis toujours je suis curieux et je me pose plein de questions.

D’où viens-je ? Où vais-je ?

Quelle est ma destination ? Dans quel but ?

« Oh, Arrête, tu nous fatigues avec tes pourquoi ?

Tes Comment ? … »

«  Bon ça va, je garderai pour moi mes réponses »

Je continue à cogiter dans ma tête :

Shakespeare fait bien dire à Hamlet :

- Etre ou ne pas être, telle est la question -.

Aussitôt mon mental prends le relais :

Comment ne pas être, à moins de se supprimer bien sûr ?

En fait c’est impossible car JE SUIS, un point c’est tout !

Je voudrais bien remonter à la source de ce « Je suis ».

Qui est ce moi qui m’obsède ?

Vous pas ?

Ce « vous » ou ce « moi » c’est qui ?

Ou même, pourquoi pas, c’est quoi ?

Un être ?

                                                                                                                                                                                                                                                              Page 2

Une chose ? Non bien sûr !

Est-ce si sûr ? Bien des gens considèrent et traitent les autres comme des objets taillables et corvéables à merci.

      

Descartes tranche la question : Ergo sum, je pense donc je suis !

Moi je pense sans doute trop en ce début d’après-midi printanier. Je vais aller faire une petite promenade digestive.

Chemin faisant le sommeil me gagne et un gros frêne semble m’offrir l’hospitalité sous son épais feuillage. Pourquoi résister ?

Je m’installe et je commence à m’assoupir dans la tiédeur de ce printemps.

Suis-je endormie ou suis-je, au contraire, en train de me réveiller, car j’ai l’impression de rêver ?

J’essaie de me pincer pour voir, mais je ne peux continuer car un gros rat me fixe d’un regard intense. J’ai l’impression que ses yeux   rouges clignotent comme pour m’inviter à le suivre.

Dans ma tête j’entends qu’il me parle :

« C’est mon pelage gris qui te dérange ?

Il a deviné ma pensée !

Aussitôt il se pare d’un pelage blanc immaculé.

Je dois dire qu’il est beaucoup plus fréquentable ainsi.

Il me tourne les talons et je ne sais pourquoi, la curiosité sans doute, je me lève et je le suis.

J’entends ( est-ce mes oreilles ou est-ce qu’il communique avec moi par télépathie ? ) « Dépêches toi gros balourd on va être en retard ». Je vois bien qu’il n’est pas d’humeur à discuter.

J’observe le reflet du gros balourd dans une large flaque d’eau et je n’en crois pas mes yeux. Je vois un jeune garçon d’une quinzaine d’année. J’ai du mal à me reconnaître.

Je prends mes jambes à mon cou pour rattraper ce drôle de rat qui n’a pas l’air décidé à m’attendre.

Hors d’haleine je le vois tourner et disparaître derrière un chêne majestueux. Quand j’arrive, il n’est plus là.

« Mince alors ! »

Ma curiosité est piquée au vif et je ne compte pas en rester là.

                                                                                                                                   Page 3

Je scrute le sous-bois et mon regard s’arrête. Là bas je distingue une personne. Je m’approche et je distingue une jeune fille. Elle a l’air aussi perplexe que moi.

Elle m’aperçoit et se dirige aussitôt vers moi.

« Avez-vous vu un lapin blanc ? »

J’ai envie de lui renvoyer la question au sujet de mon rat, mais je me dis qu’un lapin, même blanc, dans un sous-bois c’est plus crédible qu’un rat, surtout blanc.

Devant ma dénégation elle me raconte ce qui lui est arrivée.

Je vous le donne en mille, à la seule différence que c’est un lapin au lieu d’un rat, c’est la même histoire de fou.

Nous n’avons pas le temps d’épiloguer que le rat et le lapin sont devant nous et nous sermonnent.

«  Si vous croyez que nous allons rebrousser chemin régulièrement pour vous faire plaisir. Vous vous trompez. Nous avons accepté de vous guider parce qu’on nous avait assuré que, contrairement à l’ensemble des humains qui ne veulent en faire qu’à leur tête, vous étiez dociles ».

« Ne vous fâchez pas, mais admettez que de se retrouver brusquement à l’adolescence cela fait un choc ».

Ils n’ont même pas écouté. J’attrape ma voisine par la main et nous courons le plus vite possible. En fait nous ne touchons plus terre et maintenant nous n’avons plus de difficultés à suivre nos, comment dire … amis.

C’est vrai qu’ils nous deviennent sympathiques tout compte fait.

Sans lui poser la question j’entends : « Je m’appelle Adeline et toi ?

Elle enchaîne : « Gurvan c’est pas commun mais c’est joli ».

Mais comment ça, Gurvan ? Je ne lui ai même pas répondu.

« Tu n’as pas compris que l’on communique par télépathie »

« Ok, tout s’explique, On est mort et on est au paradis ».

« Vous n’avez rien compris vous deux. Vous êtes bien vivant mais vous bénéficiez d’une faveur, vous allez pouvoir remonter le Temps ».

                                                                                            Page 4

Je n’en crois pas mes neurones.

« Dis Adeline nous voilà grands reporters en route vers un scoop ENORME »

Je lis dans la pensée de ma charmante inconnue :

« Il est fou ! Il rêve, mais je ne veux pas lui faire de la peine en le réveillant.

 Elle poursuit : « C’est curieux, mais moi non plus je n’ai pas envie que cela s’arrête, cela a l’air si réel ».

                                   

                                                                                                                                        Page 5

                                               UN

Le rat et le lapin ont disparu. Sans réfléchir nous courrons à perdre haleine à la poursuite de nos curieux guides, zigzaguant entre les arbres. Brusquement nous nous rendons compte que nous ne sommes même pas essoufflés. La raison nous apparaît immédiatement, nous ne touchons plus terre mais nous glissons sur le sol sans effort. Quelle sensation délicieuse !

Mais nous freinons brusquement pour nous arrêter au bord d’un gouffre sans fond. Mon cœur bât la chamade rétrospectivement.

Le rat et le lapin se trouvent de l’autre coté du précipice. Ils nous observent et semblent attendre de voir notre réaction.

J’entends dans ma tête : «  Vous deviez bien vous douter qu’un tel cadeau cela se mérite ».

Une sourde angoisse m’étreint et je recule de plusieurs mètres. J’ai le vertige depuis toujours.

Que veut dire ce qui semble être une épreuve ?

J’observe la situation et je remarque qu’il y a un câble tendu au dessus du vide, et je comprends  que pour le rat,  franchir l’obstacle a été un jeu d’enfant. Il me dit alors : Souviens toi de ton animal chinois ! » Je réalise que je suis rat de feu et un éclair me traverse l’esprit : Ce rat c’est une partie de moi, ma partie instinctive. Par déduction je me dis que le lapin est la partie identique d’Adeline.

Par contre, comment le lapin a t-il pu traverser ? Je ne vois pas.

Adeline qui lit dans mes pensées me donne la solution.

« Tu vas traverser comme un funambule avec un gros balancier et je franchirais l’obstacle sur tes épaules. »

« Mais tu es folle ! J’ai le vertige et même si je tente l’aventure tout seul je vais certainement m’écraser au fond ».

« Seul c’est possible, mais avec moi sur tes épaules nous sommes certains de réussir ».

« Comment peux-tu affirmer cela ? ».

                                                                                            Page 6

«  Mon intuition féminine m’a fait comprendre le sens de l’épreuve. Elle est de mettre en œuvre la solidarité pour vaincre nos peurs animales comme par exemple la crainte instinctive du feu des animaux.

As-tu remarqué que mon lapin, comme ton rat, ont les yeux rouges ? Le rouge est le symbole de la volonté. Au fond du canyon coule un flot tumultueux. L’eau bleue symbolise les émotions.

Notre épreuve est d’affronter nos émotions frénétiques par notre volonté d’avancer malgré notre peur. Je dis notre peur car j’ai au moins aussi peur que toi ».

«  Tu ne vas pas me faire croire que le lapin a franchi l’obstacle sur le dos du rat ? De plus ton lapin est énorme ».

« Mon lapin est normal c’est ton rat qui est minuscule ».

« On ne va pas se disputer car le lapin et le rat on l’air décidé à conclure que l’on est nul. Tu as remarqué comme moi que ton lapin regarde sa drôle de montre sans arrêt en disant : «  Comme toujours, on  va être encore en retard ».

Il faut en finir. Je prends mon courage et mon balancier à deux mains et j’autorise Adeline à grimper sur mes épaules.

Oh, surprise ! Elle ne pèse pas plus qu’un papillon. Son poids est inversement proportionnel à son courage et à sa foi dans notre réussite. Instantanément je n’ai plus peur et je pose le pied sur le fil et je m’avance résolument sans regarder en bas.

J’ai une sensation étrange et je me risque à jeter un œil vers le gouffre. Je ne comprends pas, il n’y a pas de vide.

Adeline n’est pas sur mes épaules et le rat et le lapin applaudissent. Je me tourne vers Adeline et je claque bien fort des mains pour lui témoigner toute ma reconnaissance. Elle se précipite et me serre très fort dans ses bras et elle se met à verser de gros sanglots et me dit : « Si tu avais pu deviner combien j’avais peur tu n’aurais jamais oser traverser, mais tu avais l’air si confiant ».

Je préfère ne rien lui dire au sujet de ma panique, et je la laisse chercher la leçon de cette expérience. Pour moi, c’est mon imagination qui avait creusé ce gouffre.

« Tu sais quoi Adeline ?

                                                                                            Page 7

Je viens juste de réfléchir et de saisir quelque chose suite à l’épreuve dont nous venons de sortir vainqueur. En affrontant mon appréhension j’avais mal au ventre, envie de vomir, mon cœur bâtait la chamade, je transpirais et pourtant j’avais froid, en un mot j’étais malade.

Ma conclusion est que toutes les maladies trouvent leur origine dans ces émotions non affrontées donc bien - verrouillées - . La médecine chinoise nous explique que ces émotions bloquent la circulation du tchi ( l’énergie ou le souffle de vie ( spiritus en latin d’où vient le mot spirituel ). Cela déclenche, dans un premier temps, une gène fonctionnelle qui aboutit en final à un diagnostic lésionnel ( des maladies ) au plan physique. Tant que l’on aura pas supprimé cette cause première, - le Mal à dit -  continuera à provoquer un obstacle et le fossé qui nous sépare de la santé ne se comblera pas ».

«  Tu as sans doute raison mais nos animaux fétiches ne prennent pas le temps de philosopher et c’est nous qui prenons du retard »

«  Ou de l’avance ! Je ne sais plus où nous sommes ni même quelle heure il est car il n’y a plus aucun repère. On n’y voit presque plus rien ».

J’aperçois ou plutôt je devine mon rat qui vient vers moi et me tend des lunettes. Je les cale sur mon nez et … miracle il fait - visible - me dit-il.  

Adeline qui a vécu la même chose me dit : «  Ils disent - visible - par opposition à ce que nous nommions il y a juste un instant en disant, cela devient - invisible - Tu as dit en fait : «  je n’y vois goutte » mais ils avaient compris.

« Si je comprends bien, en remontant le temps nous allons du visible à l’invisible. - Oh ma tête - ! ».

J’entends le rat rigoler. « Il faut bien rendre les choses invisibles ou du moins différentes pour éviter de vous faire peur, pauvres humains qui craignaient même votre ombre. Toi le grand courageux qui fait le malin tu m’as obligé de changer ma tenue pour te paraître plus à ton goût.

En fait, je ne suis pas un rat aux yeux rouges mais un dragon qui crache le feu. Les maîtres m’ont dit : « Tu n’y penses pas, si tu te montres à lui tel que tu es, il va s’évanouir en te voyant, lui qui a le vertige dès le troisième étage et qui sent monter l’angoisse aussitôt

                                                                                            Page 8

qu’il prend un ascenseur. Peut-être qu’il va enfin comprendre pourquoi il souffre de ces inconvénients ».

Oui, au fait pourquoi ?

Le vertige, je viens de comprendre. Cette peur du vide est identique en face d’une falaise abrupte où je devrais grimper. Finalement c’est une peur de la VERTICALITE.  

La peur de l’HORIZONTALITE serait-elle à l’origine de ma claustrophobie ? Probablement.

Je ne voudrais pour rien au monde faire de la spéléologie.

« Oh NON ! ! ! »

« Pourquoi cette exclamation de terreur ? » me lance Adeline.

« Je viens d’entrevoir l’épreuve suivante … 

L’aventure continue. De toutes façons je n’ai aucune envie de retourner vérifier si le gouffre était réel.

Ce que je craignais se confirme. Il fait de plus en plus sombre et les parois se resserrent. J’ai l’impression d’être dans les entrailles de la terre. Un nom me vient à l’esprit - Gaïa - la déesse mère.

Ca y est j’ai compris !

Pour remonter le temps et retourner vers le passé une phrase de l’évangile me revient en mémoire : Si vous ne renaissait pas vous ne pourrait parvenir dans le royaume de Dieu.  Un des spectateurs de l’époque entendant ces paroles s’exclament, comme j’ai envie de le faire en ce moment : « Mais Seigneur, personne ne peut retourner dans le ventre de sa mère pour renaître ».

J’ai l’impression que je vais renaître dans l’aventure qui nous attend Adeline et moi. Mais je sais que le prix à payer va m’être difficile. Heureusement la présence d’Adeline à mes cotés me donne du courage. Seul je pense que je m’enfuirai vers mon passé. Oui mais lequel ? J’ai l’impression que je deviens fou.

Je me calme au bout d’un moment et je respire calmement.

De quoi suis-je sûr, autant que l’on puisse l’être dans un pareil moment de panique. De plus il faut bien l’avouer cette expédition n’est pas banale.

                                                                                            Page 9

Résumons, je suis certain de l’instant présent avec Adeline, un être humain, charmant de surcroît. Du rat et du lapin je suis moins convaincu, mais je tiens à eux car pour le moment ils nous ont été bien utile.

Mais dans quelle direction se dirige le passé, vers l’avant où ils nous entraînent ou derrière moi d’où nous venons ? Le futur va forcément en sens opposé. Je n’en suis plus persuadé.

Une solution un peu folle me traverse l’esprit.

Je raisonne comme tout le monde de manière linéaire :

 passé - présent - futur,

                        mais si je réfléchie de manière circulaire

                      passé - présent - futur à

devient  ß    futur - présent – passé

Conséquence, le présent dont je suis sûr reste en place et le futur débouche sur le passé si je me dirige dans le sens des aiguilles d’une montre ou sur le futur si je progresse dans le sens contraire. Il en résulte une seule chose qui reste en place, l’ÉTERNEL  PRESENT.

Du coup je me sens rassuré, je peux suivre ces guides improbables.

Je perçois maintenant une nouvelle certitude, j’ai l’impression que ces cogitations ont eu lieu simultanément dans ma tête et dans celle d’Adeline. Je viens de vivre ce que disent les mayas quand ils se saluent : In Lack Ech ( je suis toi ) et l’autre répond en le serrant dans ses bras : A Lak En ( tu es moi )

J’ai la certitude qu’Adeline et moi sommes unis au plus profond de nos êtres. Elle reste une femme et moi un homme mais une partie féminine est en moi et une partie masculine en elle, l’animus et l’anima explicité par Jung.

Sans avoir besoin de mettre des mots nous savons, chacun, que nous sommes de plus en plus équilibré dans cette notion que le Yi King nomme l’unidualité des contraires. Je sais avec certitude qu’à la fin de ce voyage nous aurons atteint, dans le passé ou dans le futur peu importe, ce que je nomme l’uniquaternité.

                                                                                           Page 10

L’ai-je déjà vécu et je l’aurais oublié, ou vais-je la vivre ?

Dans un brouillard un nom résonne Hélène.

La pause est finie et la spéléologie commence dans un noir qui s’épaissit de plus en plus. Si je n’avais pas réfléchi avant j’aurais l’impression d’aller vers une mort certaine car devant moi il y a les deux compères et Adeline me suit. Je ne peux de toute façon me retourner dans cet étroit boyau. Je pense que j’ai vécu un même passage difficile lors de l’accouchement de ma mère, mais cette fois-ci je suis conscient.

Au fait, ce tunnel noir !

Est-ce que je ne vis pas une de ces fameuses N.D.E ( expérience aux frontières de la mort ) ? Je ne le pense pas car je voyage au ralenti, ce qui n’est pas le cas pour ces expérienceurs de mort imminente.

Le fait de penser à la délivrance fait que je me trouve expulsé avec Adeline. J’ai maintenant la certitude qu’Adeline est ma sœur jumelle.

C’est une aube de printemps où flotte une brume légère. Progressivement le jour se lève et un disque rouge s’élève à l’horizon.

Le soleil va se colorer d’orange puis du jaune d’un beau midi d’été. Puis progressivement redescendre. Mais j’ai l’impression qu’une mémoire très ancienne me revient.

Au zénith le soleil visible jaune va suivre son cycle mais un autre soleil invisible à mes yeux de chair va continuer son ascension vers les autres couleurs de l’arc en ciel.

Ce sont les couleurs subtils des corps énergétiques qui entourent le corps physique ; le vert de la conscience humaine, puis le bleu, l’indigo, le violet, l’ultraviolet et enfin le blanc qui contient toutes les couleurs, y compris l’infra-rouge et l’ultra-violet que l’on ne voit pas, mais qui sont pourtant dans la réalité.

Je me souviens alors que le noir est identique au blanc car il a lui aussi absorbé toutes les couleurs mais il ne peut pas rayonner et est de ce fait invisible. Les contradictions ne sont qu’apparentes.   

Lire la suite ...

Ce que je vais vous révéler pourra vous sembler incroyable.

En 1998 j'ai reçu en communication directe (canalisation ) un enseignement sur une période de 9 mois de janvier à septembre sur des civilisations disparues.
Je retrouve dans le film ci-dessus bien des informations qui m'ont été expliqué à l'époque.
Je viens de publier cet enseignement dans l'e.book ci-dessous sous forme d'un conte fantastique pour éviter d'être trop affirmatif.
Je ne prétends pas que ce soit la vérité, seulement que c'est vraisemblable POUR MOI. Faites vous votre opinion .
Donnez moi vos observations et vos commentaires sur ce blog ou sur mon e;mail jlchareton@gmail.com
Je compte organiser bientôt des échanges sur Skype pour échanger et partager. Merci et à bientôt !

 

Conception et réalisation de la couverture :

Stephanie Valentin // Site : www.stval.fr

On peut télécharger les applications Kindle
pour lire les ebooks sur vos téléphone ou ordinateur
ci-dessous 

 http://www.amazon.fr/gp/product/B009ZT2VWC/ref=cm_cr_mts_prod_img