vendredi 10 janvier 2014

Traces d'un monde disparu ?

Et peut-être d'un monde futur !!!  QUI SAIT ?

La vie est comme un arc en ciel. Il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
Jules Renard
                                    PARTAGE JEAN-LOUP
 Si vous ne pouvez pas être positif ici, allez être négatif ailleurs. 

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Mobile : une oreillette insolite

" Partage extra-terrestres " 
donnent des informations plus insolites ou inhabituelles. 
A chacun de prendre ce qui l'intéresse et lui paraît vraisemblable. Moi, ces informations m'ont interpellé et je souhaite les mettre en lumière. Vos avis m'intéressent et sans doute d'autres lecteurs-visiteurs.

Les trouvailles que j'aime partager et qui nourrissent mes réflexions et mes livres

Je cherchais une photo insolite pour illustrer mon blog Extra-Terrestres qui traite justement de ce qui est inhabituel ou insolite. Cette photo réunit les deux avec humour. Voila l'explication de mon choix.


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Carte de Piri Reis - preuve de l'Atlantide ? video - Tunesbaby.com 

www.tunesbaby.com/dm/?x=x906gx

30 avr. 2012
(David-Hatcher Childress) &quotLes Routes de l'Atlantide" (Andrew Collins) &quotCivilisations .


BADER49

par BADER49


Article écrit par Sylvain
Quelques liens de compléments  ci dessous:
Des endroits comme ça, loin de nos habitations, loin de nos yeux.
Peu de touristes, bien que la tendance dans ce domaine semble s’inverser.
Idéal pour la recherche, excellent pour expérimenter, dissimuler en toute quiétude ce qui ne doit pas se savoir.
Est – ce  un hasard si Chris Carter scénariste  de la célèbre série du petit écran  (9  saisons) X-Files des années 1990, s’est inspiré de l’ Alaska , situé à l’extrême nord-ouest du Canada pour certains épisodes, privilégiant un endroit disons, plus local, "pour un désert froid."Bref , loin des regards.
Revenons à l’antarctique, isolé et difficile d’accès dû au climat rigoureux, rendant ce lieu assez vague dans l’esprit des gens. Petite remarque personnelle, pour cette partie du globe. Elle me fascine, de par sa beauté qui contraste avec sa facette inhospitalière, agressive. Un autre monde dans notre monde !
Toujours est-il que l’antarctique, est utile pour diverses études scientifiques : L ‘astronomie vernie avec ce genre de site,  grâce aux nuits polaires prolongées, une pollution lumineuse réduite pour ne pas dire nèante, et assez épargnée par une surpopulation humaine. Pour les climatologues, les biologistes, les planétologues, et les paléontologues et les études de datation du climat des 700.000 dernières années , (relevé effectué dans les calottes glaciaires).
Les scientifiques ont établi  des bases , comme celles , de Concordia et le dôme C, puis l’américaine Amundsen Scott , et la russe Vostok, l’une des 3 bases permanentes implantées. Ainsi , nous pouvons comparer cet endroit à une espèce de laboratoire  naturel . La fonte des glaces indicateur naturel , renseigne en partie  l’humanité sur l’évolution et l’état de la planète ,à l’échelon climatique et gaz à effets de serre.
Baromètre de la terre en quelque sorte .
PETITE FICHE DE PRÉSENTATION :
Le pôle Sud, terre gelée entourée par l’océan austral, qui est en résumé, une masse d’eau qui s" étends au sud du 60éme parallèle  comme un anneau .Sa superficie dépasse 20 millions de km2 et n’aurait que 2% de roche apparente, sa surface est d’environ 12,5 millions de km2 .Ce continent est le plus élevé de la planète , 2300 mètres d’altitude en moyenne.Cette région est la plus froide du globe et la plus ventée.
Sa superficie fait à peu près le double de l’Australie.La clarté du "soleil de minuit" dure 24 heures sur 24 l’été.
Le phénomènepeut-être vu au nord du cercle polaire.Il reste au dessus de l’horizon pendant la saison d’été.Au cap nord, cette période dure 2 mois et demi.Ce désert glacé recouvre la quasi-totalité du continent,l’épaisseur de glace peut atteindre  jusqu’à 4800 m par endroit.
Au meilleur de l’été en saison estivale le mercure varie de -35°C  dans l’intérieur des terres à + 5°c dans les régions côtières. Au plus froid de l’hiver le thermomètre descends à – 35°c au littoral et pouvant même aller à – 70°c .Le record de froid absolu affiche -89,2°c enregistré à VOSTOK en juillet 1983. L’air froid est toujours très sec.

MYSTÈRES OU HISTOIRES À DORMIR DEBOUT?

Le second volet de ce billet blog, concerne des sujets plus énigmatiques que scientifiques, mais qu’il convient tout de même de rapporter.
Une page mystère, histoire de s’interroger sur quelques cas tout de même, en n’oubliant pas que Aréa 51 et ufoetscience, nos 2  sites sont avant tout de l’investigation, de la prospection et information. De temps à autre nous passons de l’officiel, du rationel politiquement correct à l’aspect limite de l’insencé, inconcevable,  extraordinaire voir sensationnel. Aux internautes de considérer la valeur réelle des diffusions sur nos sites!
L’audace nous pousse à regarder ce qui se cache sous une roche et ainsi de déranger le politiquement correct.
La transition mystère s’ouvre avec de l’officiel dirons nous,voici le premier cas:
27 décembre 1984 une météorite dite "martienne" a été ramassée dans la région d’Allan -Hills au cours d’une expédition ANSEMT.
Malgré son origine la météorite ALH 84001 fait désormais partie des annales de la science. Le 7 août 1996, des chercheurs de la NASA annonçaient à la communauté scientifique stupéfaite qu’on y avait retrouvé les traces d’une vie martienne primitive.
 Ce cailloux aux dimensions de ( 17 x 9,5 x 6,5 ) de presque 2 kg et de couleur gris verdâtre , présente en sa surface une croûte en fusion étonnamment fraîche qui recouvre cette surface. Ce corps étudié prête donc à discussions  sur quelques points,de sa provenance entre autres et  de sa composition.les relevés d’échantillons  sont -ils en provenance de l’espace ou à son atterrissage sur terre?
Pour info voici comment le nom a été donnée à cette météorite:
ALH: correspond au lieue de sa découverte: Allan-Hills
84: étant la date de sa découverte,
001: roche examinée après son rapatriement au centre Johson de la N.A.S.A.
Autre cas intriguant:
LE MYSTERE DES CARTES ANTIQUES

HTTP://WWW.SECRETS-REVELATIONS.COM/LE-MYSTERE-DES-CARTES-ANTIQUES/

RIVAGES DE L’ANTARCTIQUE SANS AUCUNE GLACE

Une civilisation inconnue ( les Atlantes? ) et disparu aurait-elle transmise, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances? Ce que nous savons de l’antiquité nous montre que la connaissance n’était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité.
LA CARTE DE PIRI REIS
En 1929, lors de la réfection du musée du palais Topkapi Sarayi d’Istanbul, le directeur des musées nationaux turcs, M. Halil Edem mit la main sur la fameuse carte en peau de gazelle de Piri Reis, peinte en 1513. Cette carte représente l’Océan Atlantique avec une partie des côtes américaines, africaines et de l’Antarctique. La carte de Piri Reis a fait l’objet de nombreuses études. Il ressort de ces études que cette carte est impossible, hors de son temps, compte tenu des connaissances de l’époque pour de nombreuses raisons.
L’île de Marajo à l’embouchure de l’Amazone n’a été découverte qu’en 1543.
Les îles Malouines ne seront découvertes qu’en 1592.
Les Andes sont représentées, elles ne sont pas encore connues.
Le Lama, mammifère typique de l’Amérique du sud, est peint sur les Andes, il a été identifié en 1598 par les Espagnols.
Les grandes îles au-dessus de l’équateur, inconnues, correspondent aux haut-plateaux sous-marins des îlots St Pierre et St Paul, sur la Grande Dorsale Atlantique ( ont personne ne soupçonnait l’existence).
On y voit les côtes de l’Antarctique qui ne sera découvert qu’en 1818 soit 300 ans plus tard.
L’Amérique du sud est reliée à l’Antarctique par un isthme qui a disparu il y a 10 000 ans.
Piri Reis a écrit sur sa carte, en notes et dans son Bahriye que ” Personne n’a au temps actuel une carte comme celle-là “. Ces cartes ont été dressées selon les données de chartes, des portulans de quatre Portugais qui montrent le Sind, le Hind et la Chine et d’une carte dessinée par Christophe Colomb. Elles sont aussi justes pour la navigation sur les sept mers que les cartes de nos pays.” Piri Reis déclare aussi avoir compilé sa carte à partir de vingt autres provenant de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie et datant au moins du IVe siècle av. J.C.
L’élément le plus troublant, celui qui soulève le plus de questions : Les rivages de l’Antarctique que l’on peut voir sont ceux de la Terre de la Reine Maud sans aucune glace ! Nous avons eu la confirmation de ce tracé qu’en 1949 après les relevés sismiques d’une expédition anglo-suédoise. Or, même s’il existe encore quelques scientifiques qui continuent à prétendre que la calotte entière est vieille de plusieurs millions d’années, d’autres admettent la possibilité que cette partie de l’Antarctique ait pu être dégagée de ses glaces pendant environ 9 000 ans, il y a au moins 6 000 ans.
(1) Le Japon de la mappemonde de Martin Behaim (1492) comparé avec la zone des Caraïbes de la carte de Piri Reis.
Cette carte peut paraître inexacte, si l’on est habitué aux cartes Mercator, mais pas si l’on est familier des projections stéréographiques polaires ( plus précisément c’est une projection cordiforme ). Cette carte faisait sans doute partie d’un ensemble qui constituait une mappemonde plus complexe. Pour d’autres, la carte est mal faite et c’est par exemple le Japon que l’on peut distinguer en haut à droite (1)
LA CARTE D’ORONTEUS FINAEUS
Carte d’Oronteus Finæus date de 1531. Elle décrit l’Antarctique avec une très grande précision et dégagé d’une grande partie de sa calotte glacière, soit tel qu’il était il y a au moins 6 000 ans. Outre les côtes dépourvues de glace, les fleuves, les chaînes montagneuses intérieures découvertes assez récemment, elle indique également le pôle sud ! Depuis, l’étude des carottes de glace permet aux scientifiques de remonter le temps jusqu’à 150 000 ans en arrière.
Des chercheurs ont ainsi découvert que des rivières telles que celles figurant sur la carte d’Oronteus Finaeus ayant existé  en Antarctique, quelque 4000 ans avant J.-C. Cependant, il se pourrait que cette ” Terre Australis ” soit une représentation de l’australie.
Ci-contre: Carte D’Oronteus Finaeus
LA CARTE DE ZENO
La carte de Zeno ( 1380 recopiée en 1558 ) montre le Groenland sans glaces, avec ses montagnes et des îles inconnues.
Nicolo Zeno dessina une carte de l’Atlantique nord qui s’avéra très influente. Elle aurait été basée sur les voyages océaniques effectués par des membres de la famille du cartographe dans les années 1380, quoiqu’il n’existe aucune preuve que ces voyages aient effectivement eu lieu.
La plupart des caractéristiques géographiques qui figurent sur cette carte sont positionnées à une latitude trop septentrionale, ce qui, plus tard, confondit les cartographes et amena Frobisher à croire qu’il avait visité l’île dite de Friesland alors qu’en fait, il s’était rendu au Grœnland.
LA CARTE DE MERCATOR
Mercator lui-même, dans son Atlas de 1569, montre l’Antarctique avec des éléments encore plus précis que ceux d’Oronte Fine.
Sa description de l’Antarctique est plus précise que celle de l’Amérique du sud et de l’Afrique du sud, pourtant élaborée à partir des rapports de ses contemporains, et jugée plus fiable.
Les travaux de Mercator devaient populariser la théorie de l’existence d’un passage par le nord-ouest. En 1538, année de la parution de sa première mappemonde, le cartographe était de plus en plus connu et respecté. La mappemonde qu’il réalisa en 1569 comptait parmi les plus magistrales dessinées jusqu’à cette époque. La mappemonde d’Abraham Ortelius, qui parut l’année suivante, fait partie d’une compilation originale qui constitue essentiellement le premier atlas moderne. Elle fait également date dans l’histoire de la cartographie.
AUTRES CARTES DECOUVERTES
Carte de Ptolémée
Datant du IIe siècle et retrouvées au XVe siècle, montrent le Groenland non entièrement recouvert de glace et des glaciers en Suède tels qu’ils étaient il y a 10 000 ans.
Carte chinoise
Une carte gravée sur un pilier en 1137, tracée selon une grille faisant appel à la trigonométrie sphérique ( technique utilisée dans les autres cartes occidentales citées ).
Divers portulans, notamment celui de Dulcert ( 1339 ), d’une précision de notre temps, sur la Méditerranée et l’Europe de l’Irlande à la Russie. Les latitudes y sont parfaitement exactes et l’erreur maximale des longitudes est inférieure au demi-degré.
Carte d’Ibn Ben Zara ( 1487 ) montre l’Europe du nord et son glacier tel qu’il était il y a 12 000 ans et la Méditerranée dont le niveau correspond à celui qui existait à la dernière période glacière. Là encore la précision des longitudes est étonnante.
Carte De Carneiro
Cette carte du portugais De Carneiro date de 1502. Elle représente toutes les côtes d’Afrique avec une grille utilisant également la trigonométrie sphérique..
Carte d’Andrea Benincasa
Datant de 1508 c’est une carte de la mer Baltique avec ses glaciers disparus depuis 10 000 ans.
Carte de Jorge Reinel
Datant de 1510, elle qui montre l’Océan Indien avec une étonnante précision des longitudes.
Carte d’Hadji Ahmed
Carte turquie de1559, elle représente l’Amérique avec une précision qui ne sera égalée que deux siècles plus tard ; elle montre également une terre entre la Sibérie et l’Alaska, là où se trouve le Détroit de Behring, cet isthme a disparu il y a environ 10 000 ans.
Les cartes originales entreposées à la Grande Bibliothèque d’Alexandrie ont été copiées, compilées et sans doute transférées dans les cités les plus rayonnantes comme Constantinople qui fut reprise par les Vénitiens ( grands navigateurs ) en 1204, puis diffusées d’une manière très confidentielle. Ces portulans avaient non seulement une très grande valeur marchande mais ils étaient également du plus haut intérêt sur le plan militaire et commercial.
Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu’il a existé, il y a au moins 6 000 ans, une civilisation inconnue possédant :
- Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée : Trigonométrie sphérique, Translation trigonométrique, Projection cordiforme et Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires.
- Une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre.
- Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
- Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes, ou bien… certains experts affirment que la précision des tracés n’a pu être obtenue qu’à l’aide de relevés aériens…
- 6000 avant J.C. est l’époque où l’homme serait sorti de ses grottes et aurait commencé à se “civiliser” au Moyen-Orient. Or il semble bien que l’ensemble de la planète ait été cartographié. De plus, il faut souligner le fait que ce ne sont pas seulement des cartes côtières, car on y trouve également les chaînes montagneuses à l’intérieur des continents avec leurs altitudes. En plus d’être de fameux marins, ils devaient également être de sacrés explorateurs.
Cette civilisation inconnue (les Atlantes?) a disparu. Elle a transmis, sans doute aux Egyptiens, des bribes de ses connaissances mais pas son savoir-faire. Ce que nous savons de l’antiquité nous montre que la connaissance n’était pas partagée, mais réservée à une élite dirigeante dont le pouvoir était justement assis sur cette supériorité. Comme de nos jours?
La carte Piri Reis
LE MYSTERE DES CARTES ANTIQUES
 
Les mystères du lac Vostok (source:Agence Science-Presse) – Depuis plus d’un million d’années enfoui sous quatre kilomètres de glace, le lac Vostok lève peu à peu le rideau pour nous raconter son histoire. Depuis 1996, les chercheurs s’attachent à découvrir ce que contient ce réservoir d’eau intouché depuis l’époque de l’Homo erectus. Et récemment, une équipe franco-russe a pu découvrir de la vie à une profondeur extrême : des bactéries, et non des moindres puisque ce sont des bactéries thermophiles, celles que l’on retrouve habituellement au niveau de sources chaudes.C’est après un forage au travers de 3623 mètres de glace, qui a duré plus de cinq ans, que les chercheurs ont pu remonter des carottes glaciaires contenant des fragments d’ADN de ces bactéries. Un doute subsistait: ces échantillons auraient pu provenir d’une contamination extérieure. Les scientifiques ont donc pris soin pendant deux ans d’identifier chaque source de pollution possible, ce qui leur a permis de répertorier plus de 250 bactéries éventuelles, dont ces nouvelles venues ne faisaient pas partie.Mais si elles sont bel et bien originaires du lac Vostok, comment se sont-elles retrouvées plus haut, là où la carotte glaciaire les a ramassées? Il n’existe pas sous le lac d’activité volcanique ou de cheminée magmatique. Ces bactéries auraient donc été, à l’origine, terrées au niveau de failles profondes encore actives. Lors de séismes, ces micro-organismes furent éjectés dans le lac puis emprisonnés dans la glace dite " de regel " c’est-à-dire celle qui se forme sous le glacier qui flotte.Cette découverte ne fait qu’encourager les chercheurs à aller plus loin, mais la communauté scientifique internationale, inquiète de contaminer un écosystème intouché depuis un million d’années, a interdit de forer à moins de 25 mètres du lac lui-même. Pour l’instant, les risques de pollutions du lac semblent donc maîtrisés. Mais pas complètement: pour forer à une telle profondeur, il a fallu injecter du kérosène dans le trou afin de le maintenir ouvert. Jean Robert Petit, chercheur au laboratoire de glaciologie et de géophysique de l’environnement, assure qu’il n’y a rien à craindre de ce côté: " la glace en profondeur est suffisamment pure et sans fissures pour être imperméable. Il n’empêche qu’un jour, nous voudrons aller voir ce que contient le lac lui-même. " Et pour l’instant, on ne connaît aucune méthode sûre.Et même si un jour, une technique de forage réunissait les conditions optimum pour éviter tout risque de contamination, il n’est pas certain que les scientifiques découvriraient une quelconque forme de vie dans le lac Vostok ; la quantité de carbone, supposée " quasi absente " étant le principal obstacle. En effet, ce lac, dépourvu de lumière, n’est alimenté que par la fonte du glacier, lui-même très pauvre en matière nutritive. Et cette faible quantité de carbone sera de toutes façons consommée par la très grande quantité d’oxygène.Sans photosynthèse et sans carbone, est-ce que la vie peut se développer ? Voilà une question qui restera encore quelques années sans réponse. 

VOYAGE DANS LE TEMPS . ETRANGE DÉCOUVERTE EN ANTARCTIQUE

Post on décembre 31st, 2009 by bm77
Une équipe de scientifiques basée en antarctique aurait découvert un étrange phénomène temporel . Mais je vous laisse lire le lien puiser sur internet .
voyage dans le temps .
Le temp à été tourné en arriere le 03/01/2004 à 15h37.
Ni la tv ni la radio n’ont rapporté ce fait incroyable !!!!!
Il y a huit ans, des scientifiques américains et britanniques qui ont conduit des investigations en Antarctique ont fait une découverte sensationnelle. Le physicien américain Mariann McLein a dit que les chercheurs ont remarqué un brouillard gris en rotation dans le ciel au-dessus du pôle le 27 janvier, qu’ils ont pris pour une tempête de sable ordinaire. Cependant, le brouillard gris n’a pas changé de forme et n’a pas évolué dans le cours du temps. Les chercheurs ont décidé d’étudier le phénomène et ont lancé un ballon météo avec un équipement capable d’enregistrer la vitesse du vent, la température et l’humidité de l’air. Mais le ballon météo est monté vers le haut et a immédiatement disparu.
Au bout d’un moment, les chercheurs ont ramené le ballon météo à terre avec l’aide d’une corde attachée à lui auparavant. Ils étaient extrêmement surpris de voir qu’un chronomètre placé dans le ballon météo indiquait la date du 27 janvier 1965, le même jour mais il y a 30 ans. L’expérience a été répétée plusieurs fois après que les chercheurs aient constaté que l’équipement était en bon état. Mais chaque fois que la montre était de retour elle a indiqué le passé. Le phénomène a été appelé “la porte temporelle” et a été rapporté à la Maison Blanche.
Aujourd’hui l’enquête sur ce phénomène peu commun est en cours. On suppose que le cratère tourbillonnant au-dessus du Pôle Sud est un tunnel permettant de pénétrer dans d’autres temps. Qui plus est, des programmes de lancement de personnes vers d’autres époques ont été commencés. La CIA et le FBI combattent pour gagner le contrôle du projet qui peut changer le cours de l’histoire. Il n’est pas évident de savoir quand les autorités fédérales des USA approuveront l’expérience.
Le célèbre scientifique russe Nikolay Kozyrev a entrepris une expérience pour montrer que se déplacer du futur vers le passé était possible. Il a justifié ses points de vue avec les hypothèses sur l’information instantanée s’étandant à travers les caractéristiques physiques du temps. Nikolay Kozyrev a même supposé que le “temps pourrait exécuter un travail et produire de l’énergie.” Un physicien théoricien américain est arrivé à la conclusion que le temps est ce qui a existé avant l’existence du monde.
On sait que chacun de nous perçoit un cours différent du temps dans différentes conditions. Une fois, la foudre a frappé un escaladeur de montagne; plus tard l’homme a dit avoir vu que la foudre est entrée dans son bras, s’est lentement déplacée le long de ce dernier, a séparé la peau des tissus et carbonisé ses cellules. Il a senti comme si il y avait des milliers d’aiguilles de hérissons sous sa peau.
L’enquêteur russe des phénomènes anormaux, philosophe et auteur de nombreux livres Gennady Belimov, a publié un article avec le titre: “Machine à voyager dans le temps: Première vitesse enclenchée” dans le journal “Sur le bord de l’impossible”. Il a décrit des expériences uniques entreprises par un groupe de personnes enthousiastes dirigées par Vadim Chernobrov, l’homme qui a commencé la création de machines temporelles, des dispositifs avec pompage électromagnétique, en 1987. Aujourd’hui ce groupe de fervents peut ralentir ou accélérer le cours du temps en utilisant l’impact particulier d’un champ magnétique. Le plus grand ralentissement du temps a été constaté de 1,5 secondes par heure de fonctionnement de l’équipement dans les laboratoires.
En août 2001, un nouveau modèle de machine à voyager dans le temps pour humain a été testé dans une forêt à distance de la région de Volgograd, en Russie. Même si la machine a été alimentée par des batteries de voiture et avait peu de capacité, elle parvenait déjà à changer le cours du temps de trois pour cent; le changement a été enregistré par des oscillateurs en cristal symétriques.
D’abord, les chercheurs ont passé cinq, dix et vingt minutes dans la machine en fonctionnement; le plus long séjour a été d’une demi-heure. Vadim Chernobrov a indiqué que les gens sentaient comme si ils se déplaçaient dans un monde différent; ils ont senti la vie ici et “là” en même temps, comme si un peu d’espace se dépliait. “Je ne peux pas définir les sentiments peu communs que nous avons éprouvé à ces moments.”
Ni la TV ni la radio n’a rapporté ce fait étonnant; Gennady Belimov indique que le président russe n’était pas au courant de l’expérience. Cependant, il dit que déjà sous Stalin il y avait un institut de recherche sur les mondes parallèles. Des résultats d’expériences entreprises par les Académiciens Kurchatov et Ioffe peuvent maintenant être trouvées dans les archives. En 1952, à la tête de l’organisation policière secrète soviétique, Lavrenty Beria lance un mandat d’arrêt contre des chercheurs participant aux expériences, à l’issue duquel 18 professeurs ont été exécutés par balle et 59 candidats et médecins des sciences physiques ont été envoyés dans des camps. L’institut a recommencé son activité sous Khruschev. Mais un stand expérimental avec huit principaux chercheurs a disparu en 1961, et des bâtiments près de celui où des expériences ont été entreprises ont été détruits. Après cela, le bureau politique de parti communiste et le Conseil des Ministres ont décidé de suspendre des chercheurs de l’institut pour une période indéterminée.
Le programme a été repris en 1987 quand l’institut a été remis en fonctionnement sur le territoire de l’ Union soviétique. Une tragédie s’est produite le 30 août 1989: une explosion extrêmement forte a retenti dans la succursale de l’institut sur les îles de l’Anjou. L’explosion a non seulement détruit le module expérimental de 780 tonnes, mais également l’archipel lui-même d’une superficie de 2 kilomètres carrés. Selon une des versions de la tragédie, le module avec trois expérimentateurs a heurté un grand objet, probablement un asteroïde, dans un monde parallèle ou en allant vers un monde parallèle. Après avoir perdu son système de propulsion, le module est probablement resté dans le monde parallèle.
Le dernier enregistrement réalisé dans le cadre l’expérience et conservé aux archives de l’institut indique: “Nous mourrons mais continuez à poursuivre l’expérience. Il fait très sombre ici; nous voyons tous les objets devenir doubles, nos mains et nos jambes sont transparents, nous pouvons voir nos veines et nos os à travers la peau. L’approvisionnement en oxygène sera épuisé dans 43 heures, l’appareil respiratoire est sérieusement endommagé. Nos meilleurs souvenirs pour nos familles et amis!” Puis la transmission s’est soudainement arrêtée.
La terre creuse théorie:
L’expression Terre creuse fait référence à des théories selon lesquelles la planète Terre serait creuse, ces théories étant presque toujours associées à l’idée que la Terre possède une surface interne habitable. Bien que des romans d’aventure les aient un temps rendues populaires, elles reçoivent peu de soutien au XXIe siècle ; des preuves géodésiques solides les contredisent, et la communauté scientifique les rejette, considérant qu’il s’agit de théories pseudo-scientifiques.(texte:wikipèdia,http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ories_de_la_Terre_creuse)
De nombreux documents photos ramenés par les astronautes américains des missions Apollo successives, sont aujourd’hui classifiés Top Secret. Or, ces documents ne concernent pas uniquement la Lune. Certains concernent les pôles de la Terre. Voici par exemple une photo prise par l’équipage d’Apollo XI en juillet 1969, et qui est miraculeusement passée au travers des mailles des filets de la censure de l’administration américaine.
Ces photos révèlent  la présence d’un trou noir à proximité du pôle nord. Ce trou noir semble absorber les nuages vers l’intérieur de la Terre.
Par ailleurs, en regardant ce trou de plus près, on constate une dénivellation dans la hauteur des nuages visibles sur son pourtour. Le dénivelé correspond environ à la moitié du diamètre du trou, soit une épaisseur d’environ 400 km. Or on sait que les plus hautes couches de nuages de l’atmosphère dépassent rarement une altitude de 50 000 pieds {soit 15 km}. Cela signifie que les nuages photographiés à l’intérieur du pourtour du trou sont à environ 385 km en dessous du niveau du sol !!!
Voilà pourquoi cette photo aurait dû faire partie de l’ensemble des documents de la NASA classifiés Top-Secret, car en démontrant l’existence d’un trou béant à l’extrême nord de notre planète, elle contredit toutes les données scientifiques habituellement acceptées par la science officielle. Il s’agit d’un trou tellement immense que l’on arrive même pas à en voir le fond ! 
Cette photo a été prise au mois de juillet, époque de l’année où il fait jour au Pôle Nord 24 heures sur 24 ; c’est pourquoi le trou dans les nuages est si clair et si visible. Or le fond de ce trou n’est pas blanc, comme devrait le refléter la couche de glace et de neige qui est supposée y rester 365 jours par an. Pourquoi ? simplement parce qu’il n’y en a pas. Et pourquoi n’y en a-t-il pas ? parce que ce trou communique avec le centre de la Terre qui est une région au climat tempéré et agréable en toutes saisons !
Signaux radio du centre de la Terre reçus par la NASA :
Le très sérieux journal canadien "Weekly World News" a publié le 14 février 1995 un article qui prouve à nouveau la théorie de la Terre creuse. 
Voici le titre de cet article : « Cap Canaveral, Floride – La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée ! »
Un haut responsable de la NASA qui ne veut pas dire son nom affirme dans l’article qu’il existe sous terre des êtres qui cherchent à entrer en communication avec nous. « Quels qu’ils soient, – dit-il – ils disposent d’une technologie qui est capable d’envoyer des signaux à travers l’écorce terrestre, des centaines de kilomètres de terre et de roche ».
Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994, grâce à des satellites très sensibles. Depuis ce jour, les émissions se sont renouvelées à intervalles réguliers, déclare le responsable de la NASA. « Les signaux radio seraient composés d’un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d’êtres vivants dont l’intelligence est sans doute supérieure à la nôtre ». Il précise que les scientifiques n’ont pas eu trop de mal à déchiffrer les messages, mais il a refusé plusieurs fois de révéler ce qu’ils contenaient.
« Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes », ajoute-t-il. « Comme beaucoup d’éléments dépendent de l’interprétation, je suis d’avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui pourrait mettre l’opinion publique dans un état d’excitation et d’anxiété ».
L’informateur continue en expliquant que les scientifiques de la NASA sont frustrés par le fait qu’ils n’ont pas réussi à localiser cette « civilisation souterraine », et qu’ils ne sont pas en mesure, avec la technologie dont ils disposent, de répondre aux messages. « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. Ils ont ainsi trouvé un moyen de communiquer avec nous, de façon régulière; nous, par contre, ne savons mêmes pas comment les joindre. Leurs messages montrent qu’ils ont des connaissances étendues sur la vie à la surface de la Terre, alors que nous n’avons pas d’explications sur la possibilité du développement et de la survie d’une vie intelligente dépourvue d’oxygène et de soleil » (Note d’O.D.R. : à moins que la Terre ne soit creuse, qu’il n’y ait à l’intérieur une source d’énergie et de lumière, et de l’oxygène en abondance, comme cela a été confirmé par Omraam Mikhaël Aïvanhov et de nombreux clairvoyants).
Le responsable de la NASA ajoute que les scientifiques estiment que cela pourrait être la découverte la plus importante et la plus retentissante depuis des siècles. Et l’article finit par cette phrase :« Nous avons longtemps espéré devenir les maîtres de l’univers ; maintenant nous reconnaissons qu’il existe des territoires inexplorés à l’intérieur même de notre planète, ce qui pourrait être de première importance pour notre avenir ».
Que contiennent réellement ces messages ? Pourquoi la NASA se sent-elle mal à l’aise de révéler à l’opinion publique qu’elle est en communication avec l’intérieur de la Terre ? Quelles sont les exigences contenues dans ces messages qui poussent la NASA à refuser d’en parler ? Comme les messages ne semblent pas hostiles, ils ne peuvent donc pas mettre sérieusement les populations en danger. Ce sont donc une fois de plus les forces politiques et économiques qui se sentent menacées et qui imposent leur veto à la diffusion de l’information. C’est certainement la raison pour laquelle les scientifiques ont soi disant « besoin de temps pour interpréter correctement » les messages souterrains, avant qu’ils ne soient rendus publics.
Tout cela rappelle étrangement les aventures de l’amiral Byrd, au cours de son vol du 19 février 1947 dans la région polaire, et ce qu’il lui est ensuite advenu, quand il a voulu publier les messages des habitants du Centre de la Terre.
Mais, contrairement à ce qui s’était passé à cette époque, où l’on l’avait réduit au silence en ridiculisant la théorie très ancienne de la Terre creuse, les scientifiques semblent aujourd’hui vouloir préparer l’humanité pas à pas è la réalité d’une Terre Creuse. C’est aussi un acte d’humilité qui leur est demandé, car indirectement, cela les amènera à admettre que la théorie du noyau terrestre ferrugineux en fusion qu’ils ont soutenue depuis des décennies ne tient pas.
Mais pour le moment, chacun continue à mentir, y compris le responsable de la NASA cité dans l’article, puisqu’il affirme que « nous n’avons aucun moyen de communiquer avec cette civilisation. » D’autres sources affirment pourtant que ces êtres essaient au contraire depuis longtemps de faire comprendre à nos dirigeants que le surarmement et l’énergie nucléaire peuvent signifier notre perte, ce qui implique que des échanges ont bien eu lieu et que s’ils en avaient la possibilité, les êtres de la Terre Creuse ne se contenteraient pas d’une communication à sens unique. En réalité, ce mensonge de la part de la NASA la dégage de la responsabilité de publier toute information à ce sujet.
Apparemment, la civilisation souterraine n’est pas seulement plus développée que la nôtre, elle connaît également les conditions qui règnent dans notre monde, et elle est capable non seulement d’envoyer des messages codés que la NASA n’a aucun mal à déchiffrer, mais également de recevoir la totalité des informations émises depuis l’ensemble la surface de notre planète.
en juin 1992, le magazine français CIEL ET ESPACE, consacra un dossier complet sur "Le vrai visage de la Terre". En effet, le dossier expliquait : "De vastes régions du globe sont encore largement inexplorées, en particulier dans l’Antarctique. Surprise : le Groenland et le continent blanc lui-même ont révélé au radar du satellite ERS de grandes différences de relief par rapport à la cartographie traditionnelle. Sur ces images, le relief de la Terre antarctique est reconstitué d’après les données fournies par le satellite européen. Différences d’altitude découvertes par ERS : plus de 500 mètres !". Plus loin, on pouvait lire : "ERS a mis en évidence d’importantes inexactitudes dans les actuelles cartes du relief du continent antarctique…".
Voici les trois images du continent Antarctique‚ rectifiées par le satellite ERS. Comme vous pouvez le constater‚ un trou béant‚ à la limite effrayant‚ perfore le continent blanc. Ce qui est totalement étonnant c’est à la fois sa taille (1/3 et demi par rapport au continent) et son emplacement. Nous avons comparé ces images en trois D avec une carte traditionnelle. La dépression débuterait à l’emplacement de ce qui est habituellement nommé la banquise de Ross‚ précisément devant la mer de Ross. De toute évidence‚ en vue des images de l’ ERS‚ le gigantisme de la dépression dépasse de loin cette simple "banquise". L’affaissement englobe pratiquement la totalité du quatre-vingtième parallèle de l’hémisphère Sud. Vérifiez et comparez‚ vous-même‚ sur une carte.


Les soucoupes volantes viendraient de l’intérieur de notre planète
L’imagination est indispensable à la découverte scientifique. Mais il arrive qu’elle échappe au contrôle de la raison et que dans le cerveau d’un grand savant naisse une théorie loufoque. Comme elle n’est pas accueillie par le reste de la communauté scientifique et que nulle expérience ne vient la confirmer, elle est bientôt oubliée, pour le plus grand bien de la réputation que son auteur laisse à la postérité. Qui sait encore que le célèbre astronome britannique Edmund Halley, parrain de la comète qui nous rend visite cette année, avait publié en 1692 un essai dans lequel il soutenait que le globe terrestre n’est pas plein, mais creux ? Dans son maître ouvrage Fads and Fallacies in the Name of Science, l’écrivain américain Martin Gardner, infatigable chasseur de pseudo-science, résume ainsi le modèle proposé par l’astronome anglais : « Selon Halley, la Terre était une coquille sphérique de 1500 milles d’épaisseur, contenant deux coquilles internes de diamètres comparables à celui de Mars et de Vénus, et enfin une sphère centrale solide de la taille de Mercure environ. On trouvait sur chacune de ces sphères, disait-il, les conditions nécessaires à la vie. Un jour perpétuel y régnait, soit qu’il émanât de luminaires spéciaux, tels que Virgile en a placé au-dessus de ses Champs-Élysées, soit que l’atmosphère entre les coquilles fût elle-même lumineuse. Lorsque des aurores boréales se produisirent en 1716, Halley avança l’hypothèse qu’elles pourraient avoir pour cause une fuite de ce gaz luminescent. La Terre étant aplatie aux pôles, il était naturel que la coquille externe fût un peu plus mince en ces points et permît donc au gaz de s’échapper, le cas échéant… »
L’idée d’une terre creuse, habitable à l’intérieur, a été reprise par plusieurs pseudo-savants, sous des formes variées. En 1870, un Américain nommé Cyrus Reed Teed, qui avait d’abord étudié des médecines « naturistes », publia une brochure dans laquelle il racontait qu’un soir où il se trouvait seul, à minuit, dans le laboratoire qu’il s’était monté pour étudier l’alchimie, une femme très belle lui était soudain apparue. Elle lui révéla les vies antérieures qu’il avait vécues et lui dévoila les secrets de l’univers : celui-ci est pareil à un oeuf, nous vivons sur la face interne de la coquille. Teed était éloquent. Il créa un bureau géodésique qui se livra à des expériences pour prouver que la surface de la Terre est concave : c’est l’intérieur de la coquille. La société communautaire qu’il fonda pour dénoncer la « science officielle » groupa jusqu’à quatre mille fidèles, pour les trois quarts du sexe féminin, sur lesquels il exerçait une étrange fascination.
En 1913, un petit mécanicien de l’Illinois, Marshall B. Gardner(à ne pas confondre avec l’auteur de Fads and Fallacies), publia un modèle de terre creuse proche de celui de Halley, mais avec une seule coquille sphérique, de 800 milles d’épaisseur. A l’intérieur, un soleil de 600 milles de diamètre répand une lumière permanente. Il y a des ouvertures aux deux pôles, chacune de 1400 milles de diamètre. Les mammouths gelés découverts en Sibérie proviennent de l’intérieur de la Terre ; il se peut que d’autres animaux de cette espèce y vivent encore. Les Eskimos sont originaires de l’intérieur de la Terre. L’auteur vitupérait les professeurs d’université qui ne prêtaient pas attention à ses théories.
En Allemagne, les écrits de Teed ont servi de base à une doctrine qui se développa largement (comme d’autres pseudo-sciences) dans le climat d’obscurantisme culturel du nazisme, sous le nom de Hohlweltlehre (« théorie de la terre creuse »). Une des conséquences qu’on en tirait était que la surface interne habitée étant concave (et non convexe), il devait être possible, avec des instruments appropriés d’observer des objectifs très lointains, en visant au-dessus de l’horizon apparent. C’est ainsi que pendant la deuxième Guerre mondiale un groupe de dix hommes, sous le commandement du Dr Heinz Fischer, technicien des rayonnements de grande longueur d’onde, fut envoyé sur 1’î1e de Rugen afin de prendre des images radar de la flotte britannique, en pointant un radar vers le ciel sous un angle de 45°. Cet épisode grotesque ayant été rapporté par Martin Gardner dans la première édition de son ouvrage, publiée en 1952, le Dr Fischer se plaignit à l’éditeur et le menaça de poursuites, alléguant qu’il avait obéi aux ordres reçus sans croire un mot de la Hohlweltlehre, et que la relation de Martin Gardner risquait de lui porter tort. Pour ne pas avoir d’histoire, l’éditeur américain supprima ce passage dans l’édition de 1957 !
(Signalons en passant comment le pouvoir nazi est intervenu dans un autre domaine scientifique. En 1937, Rudolf Hess, représentant du Führer, déclarait « prendre sous sa protection » le XIIe Congrès international d’homéopathie de Berlin « afin d’exprimer l’intérêt que porte l’État national socialiste à toutes les méthodes thérapeutiques utiles à la santé du peuple ». Il invitait en même temps le corps médical à tenir « compte des résultats concrets de ceux qui utilisent pour guérir des moyens qui ne sont pas ceux généralement usités. » Les essais de produits homéopathiques, qui était déjà menés depuis plusieurs années, prirent bien entendu une ampleur nouvelle après cette prise de position des autorités hitlériennes. C’est seulement après l’effondrement du IIIe Reich qu’un des protagonistes de ces recherches, le Dr Fritz Donner, a raconté comment ses yeux s’étaient dessillés devant les résultats négatifs des traitements homéopathiques, mais comment il lui avait été impossible de s’élever contre un système devenu doctrine d’État.)
Revenons à la théorie de la « terre creuse ». En dépit de sa perte de crédit, elle a parait-il gardé en Allemagne des partisans, qui se groupent au sein d’une secte. Aux États-Unis, il s’est opéré un curieux amalgame entre la « terre creuse » et les UFO (objets volants non identifiés, ou « soucoupes volantes »). Cette histoire nous est racontée dans une plaquette que son auteur, Marc Hallet, a publiée récemment sous le pseudonyme de Carl Mathel. Nous le remercions de nous avoir autorisés à tirer de son texte les extraits qui suivent.

ÉTUDE D’UN MYTHE

La théorie de la Terre creuse ne pouvait manquer d’alerter les ufologues en quête de mystères de toutes sortes…
En 1945 déjà, l’éditeur de science fiction Ray Palmer avait publié dans Amazing Stories un long feuilleton délirant dont 1e canevas original avait été composé par un certain Richard Shaver. Il y était question de deux races souterraines antagonistes : les Teros, constructifs et bienfaisants et les terribles Deros qui prenaient un malin plaisir à provoquer chez les humains les pires catastrophes : guerres, inondations, naufrages etc. En outre, les Deros combattaient les Teros, bien moins nombreux.
Ce feuilleton dut être brusquement interrompu à la suite de plaintes de lecteurs instruits qui se montrèrent très mécontents de ce charabia ridicule.
Pourtant, en décembre 1959, Ray Palmer (devenu ufologue) ressortit les récits de Shaver sous une nouvelle forme dans sa revue ufologique « Flying Saucers ». Cette fois, les récits de Shaver étaient présentés comme d’authentiques révélations d’un initié.
Palmer, bien décidé à frapper un grand coup, avait au préalable averti Gray Barker qu’il allait publier des informations exceptionnelles sur l’origine des UFO. Barker mordit à l’hameçon et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le débat fut lancé. Plusieurs ouvrages anciens furent réédités et des témoignages loufoques commencèrent à affluer…
On raconta par exemple que des chercheurs avaient mystérieusement disparu en explorant des grottes ou en tentant d’atteindre les ouvertures polaires par mer ou par air. Palmer osa même publier le témoignage d’un photographe qui prétendait avoir appuyé par erreur deux fois sur le bouton « sous-sol » d’un ascenseur new-yorkais et être descendu alors à grande profondeur pour se retrouver parmi les habitants de l’intérieur du globe !
Un délire collectif s’empara d’un grand nombre de cerveaux fêlés. Il ne fallut guère de temps pour que les sinistres MIB (hommes en noir) fussent identifiés aux redoutables Deros amateurs de chair fraîche d’origine humaine. Certains « décollèrent » quand Shaver annonça qu’on avait vendu des milliers de voitures Ford aux Deros ; or, tout le monde sait que les MIB ont une prédilection pour les Ford et les Cadillac noires…
Kurt Glemser, Michael X, Riley Crab (successeur de Mayde Layne), Th. Titch, William Warren, Raymond Bernard, Timothy Green Beckley et O. Huguenin furent les auteurs qui avec Barker et Palmer diffusèrent le plus la théorie de l’origine souterraine des UFO. Un nombre impressionnant d’articles, de brochures et de livres à faible ou à forte diffusion ! A noter que Huguenin était l’élève du professeur A.J. de Souza, Président de la Société Théosophique brésilienne.
Le débat commença bientôt à tourner en rond dans l’attente d’un document concret qui pourrait servir d’argument irréfutable. Car aucun argument irréfutable en faveur de la théorie souterraine des UFO n’existait jusque là !
Encore une fois, ce fut Palmer qui relança le débat… en même temps que l’intérêt de ses lecteurs et le tirage de ses revues. Sur la couverture d’une de ses revues de juin 1970, au-dessus du titre « Première photo du trou au pôle » il publia une photo NASA prise par un satellite ESSA. D’autre photos du genre figuraient à l’intérieur de la publication. Dans un éditorial enflammé, certain d’avoir définitivement rivé le clou à ses adversaires, Palmer décrivait en long et en large les particularités des photos qu’il présentait et dénonçait fiévreusement la conspiration du silence qui entourait le sujet. Mais, rusé comme à son habitude, il prenait soin de publier également un article de J. Prytz qui démontrait l’absurdité de la théorie de la Terre Creuse. Ainsi, chacun y trouvait son compte…
Il faut croire qu’après cet énorme scandale, Palmer recueillit une foule de nouveaux lecteurs curieux ou idiots. Palmer choisit en effet de continuer à défendre les idées de Shaver et oublia complètement les arguments de Prytz. Dès lors, il se fit un devoir de répondre à l’avalanche de courrier que des lecteurs sensés lui adressèrent. Le trou noir, lui fit-on observer, incluait des terres bien connues comme par exemple l’Irlande. Son origine était simple : il s’agissait de la zone où le soleil reste en-dessous de l’horizon en hiver et que les satellites ne photographient pas. Les photos qui montraient un trou noir avaient été prises en hiver et les autres qui montraient une étendue blanche de nuages avaient été prises en été.
Avec le style provoquant qui le caractérisait, Palmer tenta de contrer ces explications évidentes. Il ne réussit qu’à se contredire et à étaler son ignorance scientifique. A bout d’argument, il lança finalement un défi absurde : il fallait qu’on lui propose une photo montrant des détails au sol des pôles et non plus une zone noire ou des nuages.
En décembre 1970, Palmer publia de nouvelles photos des pôles recouverts de nuages. « Qu’essaye-t-on de nous cacher » écrivait-il en faisant tout un mystère d’une date mal définie à laquelle avait été prise une photo.
Un an plus tard, il produisit encore de nouvelle photos, toujours aussi peu convaincantes. En juin 1972 deux articles sur ce sujet parurent encore, suivis en décembre par celui d’un certain Willis qui affirmait que le « trou » n’existait que sur le « plan astral ».
Au printemps 1973, la querelle battait toujours son plein et, dans le courrier des lecteurs, Palmer déclarait que les satellites sont souvent placés de telle façon qu’ils ne photographient pas une certaine zone du globe qui apparaît dès lors comme un cercle noir sur les photos. Quel revirement ! C’est précisément cela qu’il n’avait pas voulu admettre en juin-juillet 1970 !
A la vérité, il semble que Palmer s’est lui-même enfermé dans un cercle vicieux. Il ne sut sans doute jamais échapper au piège qu’il avait lui-même construit pour augmenter le tirage de ses publications.
Quand on consulte la littérature consacrée au thème de la Terre creuse, on constate d’emblée que les auteurs modernes ont copié les uns sur les autres. Ainsi, Raymond Bernard a copié Palmer et Gray Barker qui travaillait dans son sillage. Palmer se basait sur les affirmations d’Amadeo Giannini qui fut d’ailleurs le détonateur de toute l’affaire en reprenant une idée bien connue de la littérature fiction et en l’étayant arbitrairement par des paroles de l’Amiral Byrd placées hors de leur contexte ou même inventées de toutes pièces. Chose étonnante, dès 1965, Palmer laissa paraître un article de Delmar Bryant qui remettait les paroles de Byrd dans leur véritable contexte. Grâce à des documents de Byrd lui-même, Bryant avait ruiné complètement les fallacieux arguments de Giannini et ses émules. Véritable chercheur honnête et impartial, Bryant pensait que Palmer, Barker et Bernard avaient été les victimes innocentes de Giannini qu’il faut bien appeler un filou littéraire. L’avenir a prouvé que les victimes innocentes du départ devinrent rapidement consentantes !
Telle est la triste et simple vérité à propos de la théorie de la Terre creuse et de l’origine souterraine des UFO. Tout, en ce domaine, relève de l’imposture littéraire
L’Antarctique vue de face selon les clichés établis par le satellite ERS en 1992. La banquise de Ross est inexistante et une monumentale dépression perfore le continent blanc.
L’ Antarctique vue de profil selon les clichés établis par le satellite ERS-1. Le radar digital élevation model (DEM) se termine à 81.5 degrés de latitude sud. Au-delà se trouve sans doute la véritable ouverture.
L’ Antarctique vue de dos selon les clichés établis par le satellite ERS
Les calculs effectués à partir de l’échelle de la photo aboutissent grosso modo à un diamètre du trou d’environ 900 à 950 Km, soit une circonférence de 2900 à 3000 mètres. Si ce trou correspondait à une ouverture dans la calotte polaire, elle serait située à environ 86° de latitude Nord. Or on sait que des rapports d’explorateurs, dont les conclusions sont restées secrètes (celles de l’Amiral Byrd notamment) mentionnaient un trou de 716 Km, pour une circonférence de 2250 Km, et une ouverture dans la calotte polaire à partir de 86,8° de latitude Nord. Cette photo semble donc confirmer à peu de chose près les conclusions du livre de R. Bernard, "the hollow Earth" paru bien avant la première mission Apollo.

 D’autres rapportent que les nazis avaient eue  une base en antarctique pendant que d’autres parlent de porte temporelle, voyez- vous l’antarctique suscite bien de l’imagination,de la rumeur, et au final, pas trop l’indifférence!
 
 Ajouts  de liens qui complètent l’article en "investigation",la recherche continue….


UNE DÉCOUVERTE EN ANTARCTIQUE POURRAIT CHANGER LE MONDE

Second lien laissé par un visiteur du site : Aréa 51(Pierre Bourdon) que nous remercions:
http://bm7.blog.mongenie.com/index/p/2010/12/975551
une vidéo: cliquez sur le titre ci-dessous:
 (source vidéo,youtube)

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